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Baladislam

Terre d'IslamVous guide vers le chemin de la vérité


La description de la prière

Publié par Baladislam sur 8 Août 2010, 22:34pm

Catégories : #La Salat

Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et le Messager d’Allah (Saw) Muhammad (Saw), sa famille et ses Compagnons. J’adresse ces quelques paroles à tout musulman et musulmane pour expliquer comment le Prophète (Saw) accomplissait la prière, afin qu’ils fournissent des efforts pour se conformer aux actes du Prophète (Saw), [mettant ainsien pratique] sa parole, après en avoir pris connaissance : « Priez comme vous m’avez vu le faire. » Rapporté par Al-Bukhârî.

 

1- Il faut d’abord faire les ablutions avec le plus grand soin, c’est-à-dire comme Allah l’a prescrit dans Sa parole :

 

« Ô vous qui avez cru ! Quand vous vous levez pour la prière, lavez-vous le visage et les mains jusqu’aux coudes, passez-vous les mains sur la tête et [lavez-vous] les pieds jusqu’aux chevilles. »

La Table Servie, verset 6.

 

Et selon la parole du Prophète (Saw) : « La prière sans ablutions et l’aumône provenant d’un escroc ne sont pas acceptées. » Rapporté par Muslim dans son recueil authentique.

 

2- La personne qui veut prier se dirige, où qu’elle se trouve, en direction de la Qiblah (c’est-à-dire la Mecque ou Al-Kacabah) et lui fait face de tout son corps, en ayant l’intention dans son coeur de faire la prière, qu’elle soit obligatoire ou surérogatoire. Elle ne doit pas prononcer l’intention, ceci n’est pas permis ; c’est une innovation (Bidcah) car le Prophète ne l’a jamais fait, ni ses Compagnons – qu’Allah les agrée. Il est recommandé de mettre un objet devant soi, en direction duquel on prie, (pour empêcher les gens de passer), que l’on préside la prière ou que l’on prie seul, en application de l’ordre du Prophète .

 

3- On prononce la première formule de grandeur de son Seigneur (Takbîr) qui est le Takbîratu-l-Ihrâm :

 

Allâhu ‘Akbar

Allah est le Plus Grand

 

en fixant le regard vers l’endroit de la prosternation.

 

4- On lève les deux mains, au moment du Takbîr, parfois au niveau des épaules, parfois au niveau des oreilles.

 

5- On place les mains sur la poitrine, en posant la main droite sur la main gauche, le poignet et l’avant-bras, tel que c’est mentionné dans un hadith rapporté par Wâ’il Ibn Hujr, et Qubaysah Ibn Hulub At-Tâ’îy selon son père – qu’Allah les agrée.

 

6- Prononcer l’invocation d’ouverture fait partie de la tradition du Prophète (Sunnah) :

 

« Ô Allah ! Eloigne de moi mes péchés comme tu as éloigné l’orient de l’occident. Ô Allah ! Purifie-moi de mes péchés comme on nettoie le vêtement blanc de sa saleté. Ô Allah ! Purifie-moi de mes péchés avec l’eau, la neige et la grêle. » Rapporté par Al-Bukhârî et Muslim, selon Abû Hurayra

 

Si on veut, on peut dire à la place :

 

Subhânak Allâhumma wa Bihamdika wa Tabâraka- Smuka, wa Taâla Jadduka wa lâ Ilâha Ghayruk

« Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi. »

 

Il est confirmé que le Prophète a prononcées ces deux formules. Si on souhaite prononcer d’autres invocations rapportées de manière sûre du Prophète , il n’y pas de mal. Et si on prononce de temps en temps celle-ci et de temps en temps, celle-là, c’est préférable, car c’est se conformer encore plus aux actes du Prophète.

 

Puis, on dit :

 

Aûdhu billâhi minash-Shaytân ir-Rajîm, Bismillah ir- Rahmân ir-Rahîm.

« Je me mets sous la protection d’Allah contre Satan le lapidé. Au Nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. »

 

Ensuite, on récite la sourate Al-Fâtihah (Le Prologue) selon la parole du Prophète (Saw): « Pas de prière pour celui qui ne récite pas le premier chapitre du Coran [c.-à-d. Al-Fâtihah]. »

 

Puis, on dit, après cette récitation : Âmîn à voix haute dans les prières à voix haute, et à voix basse, dans les prières à voix basse.

 

On récite ensuite (une sourate ou un passage) du Coran. Il est préférable que l’on récite, dans les prières du Dhouhr, de l’Asr, et de l’Ishâ’, les sourates moyennes, dans le Fajr, les sourates les plus longues, et dans le Maghrib, les plus courtes. Mais, parfois au cours de cette dernière prière, on peut réciter des sourates longues ou moyennes, comme l’a fait le Prophète . Il est religieusement correct que la prière de l’Asr soit plus courte que celle du Dhouhr.

 

7- On s’incline ensuite en prononçant le Takbîr Allâhu ‘Akbar, tout en levant les mains au niveau des épaules ou des oreilles. [Une fois incliné,] Il faut que la tête soit dans le prolongement du dos, les mains sur les genoux, les doigts écartés ; on marque un temps d’arrêt en disant :

 

Subhâna Rabbiy-al-Azhîm

Gloire et pureté à mon Seigneur le Très Grand.

 

Il est préférable de répéter cette formule trois fois ou plus.

 

Il est recommandé d’ajouter ceci :

 

Subhânak Allâhumma Rabbanâ wa Bihamdika AIlâhumma Ghfirlî

Gloire et pureté à Toi, ô Allah, notre Seigneur, et à Toi la louange. Ô Allah, pardonne-moi.

 

8- Puis, on se redresse de l’inclinaison, et on lève les mains au niveau des épaules ou des

oreilles, en disant :

 

Sami-Allâhuliman Hamidah

Qu’Allah exauce celui qui L’a loué.

 

que la personne mène la prière (en groupe), ou bien qu’elle prie derrière un imam.

 

Rabbanâ wa lakal-Hamd Hamdan Kathîran Tayyiban Mubârakan fîh, Mil’us-Samâwât wa Mil’ul-‘Ardh wa Mil’u mâ baynahumâ wa Mil’u mâ Shi’ta min Shay’in bacd…

« Notre Seigneur, à Toi la louange, une louange abondante, pure et bénie, qui remplit les cieux et la terre et ce qu’il y a entre les deux, et qui remplit tout ce que Tu voudras au-delà de cela... »

 

C’est bien si l’on rajoute après cela :

 

« Tu es Digne d’éloges et de grandeur, c’est la parole la plus véridique que le serviteur puisse dire et nous sommes tous Tes serviteurs. Nul ne peut retenir ce que Tu as donné et nul ne peut donner ce que Tu as retenu. Le fortuné ne trouve dans sa fortune aucune protection contre Toi »,

 

car il est prouvé dans certains hadiths authentiques que le Prophète l’a dit.

 

Par contre, si l’on prie derrière l’imam, on dit en se relevant [de l’inclinaison] :

 

Rabbanâ wa lakal-Hamd

 

puis, tout ce qui a été mentionné ci-dessus. Il est recommandé que l’imam et la personne qui prie derrière lui placent [à nouveau] les mains sur la poitrine, comme ils l’ont fait en position debout, avant l’inclination, selon la pratique du Prophète confirmée dans le hadith de Wâ’il ibn Hujr et Sahl ibn Sacd - qu’Allah les agrée.

 

9- Puis, on se prosterne en prononçant le Takbîr, en posant les genoux au sol avant les mains, si on y arrive ; mais si cela pose problème, on peut poser les mains avant les genoux. Les doigts des mains et des pieds sont dirigés vers la Qiblah ; les doigts des mains sont joints entre eux. On repose sur les sept membres suivants : le front et le nez, les (deux) mains, les (deux) genoux, la plante des (deux) pieds –les orteils repliés. On dit alors :

 

Subhâna Rabbiy-al-Alâ trois fois ou plus.

 

Il est recommandé de dire après cela également :

 

Subhânak Allâhumma Rabbanâ wa Bihamdika AIlâhumma Ghfirlî

« Gloire et pureté à Toi, ô Allah, notre Seigneur, et à Toi la louange. Ô Allah, pardonne-moi. »

 

On s’efforce de faire le plus d’invocations possible, car le Prophète (Saw) a dit : « Dans l’inclinaison, proclamez la grandeur du Seigneur ; quant à la prosternation, faites dans cette posture beaucoup d’invocations, car elles sont plus à même d’être acceptées par Allah. » Rapporté par Muslim.

Et il a dit aussi : « La position dans laquelle le serviteur se trouve le plus proche de son Seigneur est lorsqu’il est prosterné. Faites donc le plus d’invocations possible [dans cette posture]. » Rapporté par Muslim.

 

On demande à Allah, le bien de ce bas-monde et de l’au-delà, pour soi-même et les autres musulmans, que la prière que l’on accomplit soit une prière obligatoire ou surérogatoire. On écarte les coudes de ses côtes, le ventre de ses cuisses, et les cuisses de ses mollets. On lève les avant-bras au-dessus du sol, selon la parole du Prophète (Saw):  Et restez en prosternation sans bouger, et n’allongez pas vos avant-bras comme le fait le chien. Rapporté par Al-Bukhârî et Muslim.

 

10- On relève ensuite la tête en prononçant le Takbîr, on étend son pied gauche sur le sol (sous soi) de manière à s’asseoir dessus, [la jambe droite repliée], le pied droit relevé, et on pose les mains sur les cuisses et les genoux. On dit alors :

 

Rabbi Ghfirlî, Rabbi Ghfirlî, Rabbi Ghfirlî, Allâhumma Ghfirlî wa-Rhamnî, wa-Rzuqnî wa Âfinî wa-Hdinî wa- Jburnî.

« Seigneur, pardonne-moi, Seigneur, pardonne-moi, Seigneur, pardonne-moi. Ô Seigneur, pardonne-moi, accorde-moi Ta miséricorde ; accorde-moi ma subsistance et le salut, guide-moi et panse mes blessures. »

 

On marque une pause de manière à ce que toutes les vertèbres reprennent leur place, comme on l’a fait en se relevant de l’inclinaison, car le Prophète (Saw) marquait une longue pause, après l’inclination et entre les deux prosternations.

 

11- On se prosterne ensuite pour la deuxième fois en prononçant le Takbîr, et on fait la même chose que ce que l’on a fait la première fois.

 

12- On relève la tête en prononçant le Takbîr, et on s’assied comme on l’a fait entre les deux prosternations, mais un moment très court. Cette courte pause s’appelle la position du repos (Jalsatu-l-‘Istirâhah) et il est recommandé de la faire, selon l’avis le plus correct des savants. Si on ne la fait pas, il n’y pas de mal. On ne prononce dans cette posture aucune formule de rappel, ni d’invocation.

 

On se lève ensuite pour la deuxième unité de prière (Rakah), en s’appuyant sur ses genoux, et si cela cause une difficulté, on peut s’appuyer avec ses mains sur le sol. On lit la sourate Al-Fâtihah et (une sourate ou un passage) du Coran, après cela, comme on l’a fait dans la première Rakah ; ensuite, on procède de la même manière que dans

la première Rakah.

 

Remarque Il n’est pas autorisé à celui qui prie derrière l’imam de le précéder, car le Prophète a mis en garde sa communauté contre cela. De même, il est détestable de faire les mouvements en même temps que lui ; la tradition du Prophète (Saw) (As- Sunnah) veut que celui qui prie derrière l’imam fasse les mouvements après lui, sans tarder, juste après qu’il ait terminé de prononcer [le Takbîr], selon la parole du Prophète (Saw) : « L’imam a été désigné pour être suivi ; donc ne le précédez pas, et ne tardez pas à suivre ses mouvements. S’il dit « Allâhu ‘Akbar », dites « Allâhu ‘Akbar » (après lui) ; s’il s’incline, inclinez-vous (après lui) ; s’il dit « Allah a entendu celui qui L’a louangé », dites « Ô Seigneur, à Toi la louange » ; et lorsqu’il se prosterne, prosternez-vous (après lui). » Rapporté par Al-Bukhârî et Muslim.

 

13- Si la prière comporte deux unités de prière, comme le Fajr, la prière du Vendredi ou de l’Aïd, on s’assied après avoir relevé la tête de la deuxième prosternation, le pied droit relevé, en étendant le pied gauche sur le sol (sous soi). On pose la main droite sur la cuisse droite, en serrant le poing sauf l’index que l’on pointe vers l’avant, lorsque l’on mentionne le nom d’Allah, dans la formule du Tawhîd et les invocations. On peut aussi garder l’annulaire et l’auriculaire de la main droite pliés, former une boucle avec le pouce et le majeur et pointer son index vers l’avant. Ces deux manières ont été rapportées, et le mieux est de faire parfois ceci, parfois cela. La main gauche est posée sur la cuisse et le genou gauches. On lit alors la formule de l’attestation (at- Tachahhud) :

 

At-Tahiyyâtu Lilâhi was-Salâwâtu wat-Tayyibâtu, as- Salâmu alayka Ayyuhan-Nabiyyu wa Rahmatu-Llâhi wa Barakâtuhu, as-Salâmu Alayna wa alâ-cIbâdillâh is Sâlihîna, Ash-hadu an lâ Ilâha Illallâhu wa ash-Hadu anna Muhammadan Abduhu wa Rassûluh.

« Les salutations sont pour Allah, ainsi que les prières et les bonnes oeuvres. Que le salut soit sur toi, ô Prophète, ainsi que la miséricorde d’Allah et Ses bénédictions. Que le salut soit sur nous et sur les serviteurs vertueux d’Allah. J’atteste qu’il n’y pas de divinité [digne d’adoration] en dehors d’Allah, et j’atteste que Muhammad est Son serviteur et Son messager. »

 

Puis, on dit :

 

Allâhumma Salli ala Muhammadin wa ala Âli Muhammadin, kama Sallayta ala Ibrâhîma wa ala Âli Ibrâhîma, Innaka Hamîdun Majîd. wa Bârik ala Muhammadin wa ala Âli Muhammadin, kama Bârakta ala Ibrâhîma wa ala Âli Ibrâhîma, Innaka Hamîdun Majîd.

« Ô Seigneur, prie sur Muhammad et sur la famille de Muhammad comme Tu as prié sur Ibrâhîm et sur la famille d’Ibrâhîm, Tu es certes Digne de louange et de glorification. Ô Seigneur, accorde Tes bénédictions à Muhammad et à la famille de Muhammad comme Tu as accordé Tes bénédictions à Ibrâhîm et à la famille d’Ibrâhîm, Tu es certes Digne de louange et de glorification. » Rapporté par Al-Bukhârî et Muslim.

 

Ensuite, on invoque Allah contre quatre choses :

 

Allâhumma innî Aûdhu Bika min Adhâbi Jahannami wa min Adhâb il-Qabri wa min Fitnat il-Mahyâ wal- Mamât, wa min Fitnat il-Massîh id-Dajjâl.

« Ô Seigneur, je cherche refuge auprès de Toi contre le châtiment de l’enfer, le châtiment de la tombe, l’épreuve de la vie et de la mort et l’épreuve du Faux Messie. »

 

On demande ensuite à Allah ce que l’on veut comme bienfait ici-bas ou dans l’au-delà ; c’est bien de faire des invocations en faveur de ses parents, ou d’autres musulmans. Ceci se fait, aussi bien dans une prière obligatoire que surérogatoire, car la parole du Prophète (Saw), dans le hadith rapporté par Ibn Mascûd décrivant ce que faisait le Prophète dans le Tachahhud, est générale : « Ensuite, qu’il choisisse parmi les invocations ce qui lui plaît, et qu’il invoque. »

 

Dans une autre version : « Ensuite, qu’il demande ce qu’il veut… » et cela englobe tout ce qui peut être bénéfique au serviteur ici-bas et dans l’au-delà.

 

Puis, on salue [en tournant la tête] vers la droite et vers la gauche, en disant :

 

As-Salâmu Alaykum wa Rahmatullâh, as-Salâmu Alaykum wa Rahmatullâh

« Que le salut et la miséricorde d’Allah soient sur vous… Que le salut et la miséricorde d’Allah soient sur vous. »

 

14- Si la prière comporte trois unités de prière, comme le Maghrib, ou quatre, comme le Dhouhr, l’Asr, ou l’Ishâ’, on récite le Tachahhud mentionné précédemment, la prière sur le Prophète, puis on se lève en s’appuyant sur ses genoux ; [une fois debout,] on lève les mains à hauteur des épaules en disant :

 

Allâhu Akbar

« Allah est le Plus Grand. »

 

On met les mains sur la poitrine, comme décrit précédemment, et on lit la sourate Al-Fâtihah seulement. Il n’y a pas de mal, au cours de la prière du Dhouhr, à réciter de temps en temps, en plus de la Fâtihah, dans la troisième et la quatrième Rakah, un passage du Coran, selon le hadith authentique rapporté par Abû Sacîd – qu’Allah l’agrée.

 

Puis, on récite le Tachahhud après la troisième Rakcah du Maghrib, ou après la quatrième, pour le Dhouhr, l’Asr, ou l’Ishâ’ ; on récite aussi la prière sur le Prophète , on cherche refuge auprès d’Allah contre le châtiment de l’enfer, le châtiment de la tombe, l’épreuve de la vie et de la mort, et l’épreuve du Faux Messie ; et enfin, on fait beaucoup d’invocations.

 

Parmi les invocations permises à ce moment-là, on peut citer :

 

Rabbanâ Âtina fid-Duniya Hassanatan wa fil-Âkhirati Hassanatan wa Qinâ ‘Adhaban-Nâr

« Seigneur ! Accorde-nous belle part ici-bas, et belle part aussi dans l’au-delà, et protège-nous du châtiment du Feu ! » La Vache, v. 201.

 

comme l’a rapporté Anas – qu’Allah l’agrée – qui a dit : « L’invocation que le Prophète (Saw) récitait le plus est : « Ô Seigneur, accorde-nous un bienfait ici-bas, et un bienfait dans l’au-delà, et protège-nous du châtiment de l’enfer. »

 

Puis, on s’assied comme on l’a décrit pour la prière de deux Rakcah, sauf que l’on passe sa jambe gauche sous la jambe droite, on s’assied sur le sol, le pied droit relevé, comme le confirme le hadith d’Abû Humayd.

 

Puis, on salue [en tournant la tête] vers la droite et vers la gauche, en disant :

 

As-Salâmu Alaykum wa Rahmatullâh, as-Salâmu Alaykum wa Rahmatullâh

« Que le salut et la miséricorde d’Allah soient sur vous… Que le salut et la miséricorde d’Allah soient sur vous. »

 


Tiré du livre La Description de la Prière du Prophète

Par son éminence le cheikh Abdul Azîz Ibn Abdullâh Ibn Bâz

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